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DENTSILVA
LABORATOIRE DE PROTHÈSE DENTAIRE
CONJOINTE - ADJOINTE - CFAO - EMPREINTE OPTIQUE
HISTOIRE
DE LA DENTISTERIE
Article du 06/07/2021
Préhistoire : C'est il y a 9000 ans que se manifeste les premières mesures de traitement dentaire à Mehrgarh un des lieux de fouilles les plus importants pour l'archéologie. Les habitants ont détournés leurs capacités à fabriquer des colliers de perles avec des outils en pierre, afin de de creuser de petites cavités sur des dents cariées. La première obturation dentaire, faite de cire d'abeille, a été découverte en Slovénie et date d'environ 6500 ans.
Premier dentiste : Le premier dentiste nommément connu de l'histoire mondiale est Hésirê en Egypte ancienne 2700 ans av. J.C, cependant l'ont peut partir du point de vue que beaucoup de mesures considérées comme thérapeutique ont lieu post mortem dans le cadre de la momification, les extractions de dent sont exceptionnelles.
Dentisterie reconstructive : Il y a des indications de l'utilisation d'amalgame au début de la dynastie Tang en Chine (618–907) comme matière de plombage. En 1530 paraît un petit manuel de soins dentaires pour toutes sortes de maladies et cassures des dents, le premier livre connu entièrement consacré aux soins dentaires, il traite des thèmes comme l'hygiène buccale, les extractions dentaires, le forage des dents et la réalisation de plombages à l'or. Celui qui ne pouvait pas se payer de l'or recevait en règle générale un plombage en plomb, d'où le nom de plombage ! Les premiers travaux de technique dentaire ont été entrepris au milieu du premier millénaire avant notre ère par les Étrusques et les Phéniciens, ils confectionnaient des prothèses de dent à l'aide de dent humaine ou animale, fixées par une tige métallique à un ruban d'or et s'attacher aux autres dents.
Commerce et transplantations de dents : L'Anglais Hunter pense encore au 18ème siècle qu'il suffit de replanter assez vite chez un autre patient une dent fraîchement extraite pour qu'elle repousse avec succès. Avec des annonces imprimées, il attire des foules de « donneurs de dents » pauvres, qui se font extraire leurs dents saines pour quelques pence, pour que celles-ci puissent être immédiatement replantées chez des contemporains plus aisés. La réputation scientifique de Hunter conduit à ce que ses transplantations dentaires soient imitées non seulement en Europe, mais aussi aux États-Unis. Ultérieurement, des dents humaines sont extraites par des pilleurs de cadavres dans des caveaux ou des champs de bataille, et implantées par des dentistes comme prothèses. Une bien plus grande source de dents humaines pour les prothèses a été la bataille de Waterloo 1815, où plus de 10 000 soldats sont tombés, parmi lesquels de nombreux jeunes aux dents saines. Le trafic de ces dents qui servent à faire des prothèses prend une telle ampleur qu'elles seront plus tard nommées « dents de Waterloo ». Ce n'est que vers la fin du 18ème siècle que cette pratique, qui va de pair avec un grand danger d'infection pour les patients, est abandonnée.
Mise au point des prothèses dentaires : En 1789, le Français Nicolas Dubois de Chémant veut satisfaire le désir de prothèses dentaires d'aspect naturel. Il soumet au bureau des brevets des dents de porcelaine. Chémant reprend l'idée du pharmacien Alexis Duchâteau, qui a fait en 1774 des expériences sur la fabrication de dents de porcelaine. Mais il faudra attendre encore 50 ans jusqu'à ce que le caoutchouc naturel soit rendu résistant envers les agressions atmosphériques. Il en résulte vite des prothèses en caoutchouc, où l'on peut insérer des dents de porcelaine. Le matériau synthétique de prothèse PMMA a été mis au point à peu près en même temps vers 1928 en Allemagne, Grande-Bretagne et Espagne. Ce matériau est suffisamment au point dans les années 1950 pour éliminer le caoutchouc. Ce n'est que la couronne entièrement en céramique de la couleur d'une dent, déposée en 1889 au bureau des brevets par le dentiste Charles Henry Land, qui représentera une percée. La céramique est mise dans la forme souhaitée et cuite. La résistance à la cassure n'est pas particulièrement bonne, si bien que la recherche essaie de trouver une alternative, en assurant la stabilité par une armature métallique sous la céramique. Après de nombreux essais, M. Weinstein, S. Katz et A. B. Weinstein prennent les premiers en 1952 un brevet américain pour une céramique cuite sur alliage, mais celle-ci éclate encore souvent. En 1962, on réussit à égaliser les coefficients de dilatation entre métal et céramique, et ainsi à réduire considérablement le risque de fracture. C'est ainsi que naissent les couronnes et bridges en assemblage métal-céramique. Depuis les années 1970 la mise au point de systèmes entièrement en céramique est activement poursuivie. Sur la base de la solidité, on préfère depuis 1994 des céramiques à la zircone pour des fournitures sans métal dans le domaine des dents latérales hautement sollicitée, même quand il s'agit de finition d'ébauches fabriquées industriellement pour la technologie CFAO.
Mentions Légales : DENTSILVA, société à responsabilité limitée unipersonnelle au capital de 2000€, dont le siège social est situé, 200 Rue du Jardin Colar, 34130 Lansargues, immatriculé au RCS de Montpellier sous le N° 880 251 897 ayant pour code APE 3250A (fabrication de matériel médico-chirurgical et dentaire), pouvant être contacté par mail à l'adresse suivante dentsilva.lab@gmail.com ou au numéro de téléphone suivant 07 71 24 56 71
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